samedi 8 septembre 2007

SPIROU AMI TOUJOURS PARTOUT!







Spéciale dédicace Gruffy!



Voici un petit échantillon de notre collection à mon frère et à moi de Spirou, histoire de te faire un clin d'oeil, mais aussi saliver un peu! Les couvertures parlent d'elles mêmes, et ce n'est rien à ce qu'on y retrouve à l'intérieur!



Dans le numéro de 1958, on trouve: Spirou et le voyageur du Mésozoïque par Franquin et Jidéhem, Timour par Sirius, Buck Danny par Charlier et Hubinon! La Patrouille des Castors de Mitacq, Johan et Pirlouitt par Peyo...



En 1978, Gil Jourdan par Tillieux et Gos, Bidouille et Violette par Hislaire ( j'adooooooore!), Lucky Luke par Morris et Goscinny, Germain et nous par Jannin et un certain Th. Culliford ( le fils de qui, hein?!), Natacha par Walthéry...



Dans celui de 1994, époque que nous connaissons bien Gruffy, Cosmic Patrouille par Jansen et Janssens, le Gang Mazda par Darasse et Tome, Bizu par Fournier.. Et la rubrique jeu vidéo avec un article sur Yoshi's Safari sur Super Nintendo...



Et oui, fleuve Congo jusqu'aux bords de la Méditéranée, la passion est la même!






Gruffy

lundi 3 septembre 2007

Puisque c'est comme ça...

Je voulais mettre une BD, puis des dessins, puis aprés j'ai plus eu envie.
Et alors, comme c'est notre blog et que je fais ce que je veux d'abord, et qu'j'vous emmerde et toc, j'ai décidé, donc, de mettre un vieux texte à moi bien pourri.

J'ai écris ça à l'époque ou la plume me grattait dans le sens de l'écriture en plus que du dessin.
Ce qui fait que ça vous gratte à deux endroit différents et vous rends graphomane.
Là, ça s'est un peu calmé. Faut avouer.

Mais bon, j'y pense toujours. Et il faudra bien que ma fringale poético-grimaud me reprenne puisque je couve toujours mes véléités littéraires comme une vieille maladie à laquelle on "s'attache et on s'empoisonne" parce que c'est un bout de soi.

Car elle m'a prit la nuit de mes 14 ans, qu' elle m'amena danser ce soir là jusqu'a mes 23 ans, ce qui est pas mal, et s'est éteinte doucement, tel un Doliprane dans un verre d'eau, enrobée par le silence clair de la cuisine à 3 heure du matin.
Il arrivera bien un jour ou j'irai chercher encore un Doliprane dans la pharmacie, et la plume me démanegra encore...

Voilà donc ce que j'osais écrire en Janvier 2002.



Le Pangolin


(Le rideau se lève, un pangolin, ancienne victime des cachots s'avance sur le devant de la scène. Il n'a pas peur, il veut parler des donjons et déclame le texte que voici):

Le cachot sombre étale deja, Sa silouhette morne Dans le dedale de nos joies.

Il fait grincer ses soulier verdits Par les crachats et les injures Des êtres qu'il a surpris, qu'il a trainé outre mesure Là.

C'est un pantin mal fagoté Bougon et méchant Fourbe jusqu'a l'os.

Un caractère frustré Grimacant et vermeil, De la couleur des imbeciles De la famille des laches, Du groupe sanguin des cons.

C'est l'ironie côté faiblesse, La bêtise côté jardin, Qui se roule dans la terre Qui fait d'un rien, une détresse.
L'ennui des autres, Et le sien propre Voilà son seul caractère Son mot d'ordre, son minestrone Qu'il devore a chaque fois.

( La lumiere baisse d'intensité, le pangolin recule...Il sort de sa poche un livret puis le brûle...Le pangolin n'a pas tort il brûle le poème, son poème...Il doit être dit, pense-t-il, les paroles s'envolent et c'est bien ainsi. Tout doit un jour s'envoler... Les écrits, eux, restent...Je ne voudrais pas qu'on s'aperçoive que j'ai dis autant de conneries de merde!!!)

Le rideau tombe. Le public ebahie, suffoque, l'émotion sans doute. Le pangolin sort. Il se débarbouille dans sa loge, prend son cachet et salut le directeur du théhatre. Sa voiture l'attend, et d'autres théatres aussi.
L'Amérique en point de vue: New York, Seattle, Chicago, La Bourboule...
Il croit a la gloire et au rêve américain sur les fauteuils imitation cuir de sa Safrane.
Le chauffeur ne dit rien...
Merde...Il faudrat aussi aller chercher cette chieuse de Betty...Ah! C'est bien beau l'art...
Le rêve... Mais la vie vous rattrappe toujours...
Et il reste les courses à faire pour demain... Et il y a Betty...
Et il y a l'art qui sauve...
Et vice et versa, comme disent les poètes inconnus...

Bon sang! Mais c'est bien sur!

Mr Cul est un seigneur! Mr Cul est généreux!
Mr Cul aime le partage! Mr Cul aime le rire!
Alors il vous envoie directement vers http://enefgonzoland.blogspot.com/
Car quand Mr Cul est bombance, parfois, il vomit!

samedi 1 septembre 2007

Mais qui est Mr Cul?

Hé oui, vous êtes en droit de vous le demander...

Bon, certains le connaissent déjà, mais une petite présentation s'impose tout de même afin que s'étende au monde entier, l'aura de ce personnage mythique, qui fait déjà rêver les petits et les grands.

Mr Cul est né par un bel après-midi de glandage, lors d'un cours dont on taira la matière et le professeur pour ne vexer personne.
Cet après-midi là donc, Enef, garçon à l’imagination intarissable, fût pris soudainement d'un grand ennui ou d'une folie créatrice, se jetta sur le tableau blanc et le rempli compulsivement de tout ce qui lui passa par la tête. Il fût bientôt aidé par ses camarades de classe, eux-même contaminés par ce génial flux créateur.

Ainsi nâquit Mr Cul. (C'est celui avec une tête de cul au cas où vous n'auriez pas compris) Personnage emblêmatique, rebelle, et dérangeant. Avec lui, tout un petit monde s'est développé,son fidèle compagnon Milourd, le Capitaine Kradock et même le professeur Tourneboules... Tout un programme.

C’est ainsi que nous décidâmes d’exploiter ce filon prometteur et nous mettâmes en brânle (oui en brânle!), ce fameux blog. Mr Cul pourra y invîter ses amis et tout sera permis!

Bref, de la finesse et du goût, vous l’aurez compris.

Longue vie donc, au blog de Monsieur Cul.

Burno

Ps Toutes ressemblances avec des personnages existant ou ayant existés serait purement fortuite. ( c’est ce qu’on dit dans ces cas-là, non?)